27 septembre 2007
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16:57
Il n'est pas possible de crever de faim en bord de mer. Bison Tranquille, Fourmi Démocrate et depuis quelques jours Goujoun Ordonné viennent de tester toutes
les possibilités de survie. Aujourd'hui, vous allez découvrir la "pêche au couteau".
C'est un coquillage qui tient son nom de sa forme, en l'occurence, le manche d'un couteau. A marée basse, il se retire sous le sable. On peut alors partir à sa recherche. Le couteau s'enfouit verticalement avec son pied jusqu'à 50 cm de profondeur puis, dès que la mer le recouvre, il remonte en surface.
Comment le pêcher ?
Méthode tranquille :
"Le couteau est un coquillage qui a la forme d'un manche de couteau. Il se déplace dans le sable verticalement et trahit sa présence par un petit cratère. Le pêcheur de couteau est armé d'un stock de sel et d'une grande patience. Il saupoudre un peu de sel sur le milieu du cratère. Le couteau constate une augmentation de la salinité de son environnement et en déduit que la mer est de retour. Au bout d'un certain temps, il monte à la surface et met sa tête dehors comme la tourelle d'un sous-marin". Cette méthode est peu productive : C'est comme si l'on essayait de mettre du sel sur la queue d'un moineau.
Méthode sportive :
C'est celle que nous avons utilisée (c'est normal, le sel est ici très cher et nous n'avons pas encore attrapé de moineau).
Nous nous sommes donc équipés d'une "fourche bêcheuse" et avons parcouru la grève à marée basse. pour y rechercher des indices de présence du couteau : Un léger trou arrondi.
C'est un coquillage qui tient son nom de sa forme, en l'occurence, le manche d'un couteau. A marée basse, il se retire sous le sable. On peut alors partir à sa recherche. Le couteau s'enfouit verticalement avec son pied jusqu'à 50 cm de profondeur puis, dès que la mer le recouvre, il remonte en surface.
Comment le pêcher ?
Cette pêche se pratique les jours de grandes marées lorsque la mer se retire au plus loin du rivage. Attention, ils sont méfiants : toujours avoir le vent face à soi et ne pas créer d'ombre sur le trou.
Méthode tranquille :
"Le couteau est un coquillage qui a la forme d'un manche de couteau. Il se déplace dans le sable verticalement et trahit sa présence par un petit cratère. Le pêcheur de couteau est armé d'un stock de sel et d'une grande patience. Il saupoudre un peu de sel sur le milieu du cratère. Le couteau constate une augmentation de la salinité de son environnement et en déduit que la mer est de retour. Au bout d'un certain temps, il monte à la surface et met sa tête dehors comme la tourelle d'un sous-marin". Cette méthode est peu productive : C'est comme si l'on essayait de mettre du sel sur la queue d'un moineau.
Méthode sportive :
C'est celle que nous avons utilisée (c'est normal, le sel est ici très cher et nous n'avons pas encore attrapé de moineau).
Nous nous sommes donc équipés d'une "fourche bêcheuse" et avons parcouru la grève à marée basse. pour y rechercher des indices de présence du couteau : Un léger trou arrondi.
Il suffit ensuite d'enfoncer rapidement, à quelques 20cm du cratère. Le geste doit être rapide et efficace car l'animal s'enfonce rapidement dans le sable,
hors de portée du pêcheur.
Le résultat est là : le couteau est sorti de sa tanière.
Le chantier est phénoménal, en quelques minutes, ce sont quelques tonnes de sable qui ont été remuées pour récolter une centaine de beaux spécimens.
La marée étant encore descendante, c'est le moment d'aller taquiner le "Bar" avec nos supers cannes à lancer. Fourmi Démocrate va essayer le montage préparé par Goujon Ordonné. Ce dernier a fabriqué dans sa tanière fuxéenne un "plomb-grapin" qui porte l'estampille "24T" : les prises devraient être nombreuses.
La marée étant encore descendante, c'est le moment d'aller taquiner le "Bar" avec nos supers cannes à lancer. Fourmi Démocrate va essayer le montage préparé par Goujon Ordonné. Ce dernier a fabriqué dans sa tanière fuxéenne un "plomb-grapin" qui porte l'estampille "24T" : les prises devraient être nombreuses.